Sur le générique
Au laboratoire, Julie travaille tout en écoutant de la musique sur son MP3.
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Marc Venturi, chef de la section de la police scientifique, est en voiture avec Nathalie. La voiture, conduite par Morand, fonce vers le R.I.S.. Marc essaie de joindre Julie par téléphone, tandis que Nathalie tente de téléphoner à Malik. Hugo, dans un autre véhicule, tente également de joindre quelqu'un au R.I.S.
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Julie n'entend rien et Malik téléphone à une amie.
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Pris dans un embouteillage, tout le monde se précipite à pied, le RIS n'étant plus très loin.
Fin du générique
Arrivé au R.I.S., Marc voit que Julie est en train de démonter un poste de radio. Il tambourinne sur la vitre mais elle n'entend pas et ne le voit pas. Il se précipite dans la pièce, l'attrappe et une bombe explose. Ils sont tous les deux propulsés à travers le mur vitré du laboratoire.
Retour en arrière - 3 mois plus tôt
Marc Venturi fait du jogging.
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Une femme revient chez elle et découvre un cadavre dans sa piscine.
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Le portable de Marc sonne; c'est le R.I.S., il y est appelé d'urgence.
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A son arrivée, Hugo l'attend et lui fait part des renseignements en sa possession : le mort est un homme d'une cinquantaine d'années qui a été trouvé par sa femme. Hugo, Marc, Nathalie et Malik se rendent sur les lieux.
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Julie arrive au R.I.S.; elle a rendez-vous avec Marc. Elle va l'attendre dans son bureau.
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Images d'une personne portant un survêtement avec capuchon qui travaille dans un atelier.
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Sur place, Pierre Morand accueille l'équipe scientifique et signale qu'il s'agit de Thierry De Castro, 58 ans, gros entrepreneur. Les scientifiques se mettent au travail et relèvent différents indices. Le médecin-légiste confirme qu'il s'agit bien d'une noyade.
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L'associé de De Castro vient d'arriver. Il explique qu'il est venu au matin mais que Thierry n'a pas voulu le recevoir, malgré qu'ils devaient discuter de la faillite de leur entreprise. Morand lui dit qu'il peut partir. Pierre désigne à Marc la femme et le fils de la victime. Le fils a vu son père le matin avant de partir à la fac. Morand ajoute que Thierry De Castro prenait des médicaments et buvait de l'alcool et que cela ne fait pas bon ménage. De plus, sa femme lui avait annoncé la veille qu'elle voulait divorce. Il pense qu'il peut s'agir d'un suicide, mais Marc ne semble pas convaincu.
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Au R.I.S., Julie lit une revue. Marc entre et s'excuse d'avoir été absent à son arrivée. Hugo arrive. Marc fait les présentations. Julie lui tend la main, Hugo l'ignore et donne des renseignements à Marc sur l'affaire en cours. Le téléphone sonne. C'est une nouvelle intervention. Hugo se propose pour la prendre en charge, mais Marc dit qu'il fera équipe avec Julie. Hogo n'est pas content.
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De son côté, Malik fait des essais avec du verre et les explique à Nathalie. Ils arrivent à la conclusion que le verre retrouvé sur le bord de piscine n'a pas été brisé à cet endroit, mais que les fragments y ont été déposés pour le faire croire.
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Au bar incendié, Martine Forest accueille Julie et Hugo et les met au courant de l'affaire. Martine pense qu'il s'agit d'un incendie volontaire, mais elle a appelé l'équipe scientifique car il y a une victime, une jeune fille n'a pas pu s'échapper et est à l'hôpital dans un état critique. Hugo et Julie échangent quelques propos aigre-doux avant d'entrer dans le bâtiments pour y relever des indices.
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A l'intérieur, Martine les conduit à l'endroit où la jeune fille est restée bloquée. Hugo déduit des traces qu'il voit qu'il s'agit d'une jeune fille en fauteuil roulant. Les empreintes relevées sur la porte montrent que c'est bien là qu'elle est restée bloquée; la question est de savoir pourquoi cette porte ne s'est pas ouverte.
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Le médecin-légiste, Alessandra Joffrin, communique à Venturi les résultats concernant son examen du noyé. Celui-ci s'est bien noyé dans cette piscine. Son taux d'alcolémie était de 3,5 grammes et la mort se situe entre 9 h 30 et 10 h. L'entaille montre qu'il a été blessé avec du verre et qu'il a dû beaucoup saigner. Marc s'en étonne car il n'y avait pas de traces de sans près de la piscine. Les traces relevées sur le corps permettent à Marc de conclure que la victime n'est pas descendue toute seule à la piscine, mais qu'il y a été traîné. Il ne s'agit donc pas d'un suicide.
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Julie poursuit ses investigations et va dire à Hugo qu'elle pense avoir trouvé le point de départ du feu. Hugo s'étonne de son professionnalisme et lui dit qu'il pense qu'il va pouvoir se faire à sa présence. Sur la porte, mais à l'extérieur, Hugo a relevé des traces de peinture.
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Malik, Marc et Nathalie sont à la piscine; il fait nuit. Ils recherchent des traces de sang en utilisant la technique du luminol. Les traces sont nombreuses et les mènent à l'intérieur, dans une pièce où ils découvrent encore de petits fragments de verre.
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Dans la buanderie, Malik et Nathalie cherchent des vêtements tachés de sang. Dans une poubelle, Malik découvre un second flacon du médicament que prenait Thierre De Castro.
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Hugo est à l'hôpital car il doit examiner les mains de la victime. Il s'informe aussi sur l'état de la jeune fille; le pronostic est incertains lui dit le médecin.
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A la salle d'interrogatoire, le propriétaire du bar est interrogé par Martine, au sujet de cette porte fermée. Hugo et Julie sont présents. Hugo pose des questions sur la présente d'une bouteille de térébenthine sous l'évier de la cuisine. Il est relativement agressif.
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Hugo et Julie sorte de la salle. Julie lui reproche son attitude alors que le propriétaire était entendu comme simple témoin. Hugo s'énerver et part. Marc arrive et demande à Julie si elle a un problème avec Hugo. Il ajoute que Hugo est un solitaire et qu'il les a mis immédiatement ensemble pour obliger Hugo à travailler immédiatement en équipe avec elle.
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Malik et Nathalie discutent en attendant le résultat de l'analyse ADN; lorsqu'elle tombe, ils se rendent chez Marc.
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Nathalie informe Marc que le 2ème flacon trouvé dans la poubelle ne porte pas d'empreintes, qu'il a donc été "nettoyé". Le torchon ne révèle aucun indice. Les deux scientifiques quittent Marc, mais Malik s'étonne de ce que Marc ne les ait pas remerciés. Pour Nathalie, c'est classique de Marc qui estime qu'ils n'ont fait que leur travail.
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Nouvelles images de l'homme au capuchon.
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Tout en écoutant de la musique, Marc effectue des prélèvements pour analyser les traces relevées sur le drap de lit des De Castro. Julie entre et lui dit qu'elle aussi aime travailler avec de la musique. Marc répond que ce n'est pas un problème à condition que le taux d'erreur reste très proche du zéro. Elle lui demande ce que représente la photo du cadavre dans son bureau. Il répond que c'est un souvenir.
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Morand et Marc interrogent Madame De Castro. Ils veulent connaître le nom de son amant. Elle finit par dire qu'il s'agit d'Arnaud Legendre, l'associé de son mari. Elle ajoute qu'ils sont innocents, mais Morand lui signifie sa mise en garde à vue.
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Julie teste les différents éléments du frigo en présence d'Hugo et ils arrivent à la conclusion qu'il s'agit d'un accident. Le téléphone sonne. Hugo décroche et apprend que la jeune fille vient de mourir.
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Nathalie a demandé à Marc de la rejoindre dans son laboratoire pour examiner la bague de De Castro. Elle y a retrouvé une bactérie qui ne se développe que dans l'eau chaude, or la température de la piscine n'était pas supérieure à 25°.
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Nathalie et Marc retournent examiner le thermostat et concluent que celui-ci a été monté à 35°. Ils font une recherche d'empreintes. Ils estiment aussi que l'heure de la mort n'est plus comprise entre 9 h et 9 h 30, mais entre 8 h et 8 h 30 et dès lors, tout le monde peut à nouveau être soupçonné.
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Malik a passé l'ordonnance au révélateur et ensuite au comparateur d'empreintes. Il y a relevé les empreintes du père, ce qui est normal, mais aussi celles du fils, ce qui est moins logique.
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Yannick De Castro est interrogé par Marc et Morand, en présence de son avocat, Me Brens, interrogatoire qui ne mène à rien et le jeune Yannick peut quitter le R.I.S.
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Morand rattrape l'avocat à la sortie du R.I.S. et lui demande pourquoi il défend toujours les coupables et non les victimes. Brens répond qu'il défend ceux qui le paient. Morant lui demande si l'usine qu'il défend et qui a empoisonné 150 personnes, n'est pas coupable. Pour l'avocat, le cas du père de Morand n'a rien à voir avec l'affaire De Castro.
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Vues sur l'homme à la cagoule.
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A suivre.